Nathalie PERROT |
|
E A K S |
A. ABADIA J.P. BAY A.V. ROUSSEAU L. ROUSSEAU G. GARCIA K. CHIOCCI
Nathalie PERROT :
avec A. ABADIA
Née le 09 Janvier 1977
Mère d'une fille
Brevet d'Etat d' Educateur Sportif 1er degré Judo (2001)
Diplôme d’Animateur Fédéral karaté (2017)
Titulaire de l’AFPS
Ceinture Noire Judo 1er Dan (1994)
Ceinture Noire Judo 2ème Dan (1998)
Ceinture Noire Karaté 1er Dan (2012)
Ceinture Noire Karaté 2ème Dan (2014)
Ceinture Noire Karaté 3ème Dan (2017)
Débute le judo en 1984, à Chasselay (69).
Jusqu’en 2002, suit l’enseignement traditionnel d’André Ramousse. Technicien méticuleux, soucieux de transmettre à
ses élèves toute la richesse de l’art martial (techniques debout et au sol,
exercices conventionnels, katas) il leur permettait aussi de s’exprimer sur les
tatamis au moment des compétitions de niveau départemental voire régional.
Pour explorer une autre dimension du judo, suit pendant deux années les
cours dispensés sous la direction de Pierre BLANC, à l’école des cadres de la
Ligue du Lyonnais, qui lui permettent d’obtenir le brevet d’état d’éducateur
sportif 1er degré en 2001 et d’enseigner aux enfants de son club de Chasselay pendant une saison.
Pour sa dernière compétition, en 2003, accession à la 3ème marche du
podium des championnats de France individuels catégorie « entreprises ».
De 2004 à 2006, profite de l’enseignement dispensé par Yannick AUFRAY au
judo club de Châteauroux (36).
De 1995 à 1997, à l’université Jean Moulin Lyon III, découverte du karaté
shotokan avec Fabrice PANTALEON.
En 2007, adoption définitive de cette discipline, au Karaté Club de Châteauroux,
sous la direction technique d’Alain AUCLERT et aux côtés de karatékas
confirmés.
De 2009 à 2014, apprentissage du karaté traditionnel au Morsang Karaté Shotokan, dans une
ambiance familiale, sous la direction d’Abdel MACHROUCH.
En 2014, devient l'élève d’Anatole ABADIA, à Agen
Toutes ces étapes sportives et martiales se sont mélangées aussi à étapes
de construction personnelle
(les études, le passage à l’âge adulte, la mobilité professionnelle…).
Toutes n’ont pas été naturelles, certaines ont même été vécues
douloureusement.
Mais toutes ont permis de faire de très belles rencontres,
d’éprouver la solidité des liens tissés sur les tatamis,
de recevoir beaucoup.
Aujourd’hui, faire partie des professeurs de l’EAKS est un moyen de
donner aux autres
un peu de ce qu’on reçoit depuis plus de 30 ans à chaque fois qu’on
enfile son kimono.